La petite bonne de Bérénice Pichat

Dans la France de l’après-Grande Guerre, un huis clos magnétique entre une jeune domestique et son maître. Dans ce roman social, où tous les corps sont contraints, Bérénice Pichat nous raconte la servitude et la résilience avec délicatesse et pudeur. Un roman qui chante l’émancipation des femmes et le droit à mourir dignement. L’écriture alternant entre prose et vers ajoute à la profondeur de l’histoire. C’est magnifique et poignant.

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