Le laboureur et les mangeurs de vent de Boris Cyrulnik

Boris Cyrulnik a échappé à la mort que lui promettait une idéologie meurtrière. Un enfant qu’on a voulu tuer et qui toute sa vie a cherché à comprendre pourquoi, pourquoi une telle idéologie a pu prospérer.
Pourquoi certains deviennent-ils des «mangeurs de vent», qui se conforment au discours ambiant, aux pensées réflexes, parfois jusqu’à l’aveuglement, au meurtre, au génocide? Pourquoi d’autres parviennent-ils à s’en affranchir et à penser par eux-mêmes?
Certains ont tellement besoin d’appartenir à un groupe, qu’ils recherchent, voire chérissent, le confort de l’embrigadement. Ils acceptent mensonges et manipulations, plongeant dans le malheur des sociétés entières.
La servitude volontaire engourdit la pensée. «Quand on hurle avec les loups, on finit par se sentir loup.» Penser par soi-même, c’est souvent s’isoler. Seuls ceux qui ont acquis assez de confiance en soi osent tenter l’aventure de l’autonomie. Limpide et éclairant sur l’état actuel de notre monde.

Votre navigateur est dépassé !

Mettez à jour votre navigateur pour voir ce site internet correctement. Mettre à jour mon navigateur

×