Où vont les larmes quand elles sèchent raconte l’hôpital, là où on meurt, les urgences, les con-frères, la maladie et la solitude. Puis, un départ en cabinet privé pour d’autres liens. Un vrai condensé d’humanité. C’est drôle, touchant, plein de tendresse et de colère aussi. Merci Baptiste Beaulieu, alias Jean, pour votre amour de l’humain…et notamment de la gente féminine.